• lors de la visite de l’appartement en janvier 2009, le responsable du chantier nous assure que nous serons livrés en mars comme prévu sur le planning et nous confirme que toutes les modifications demandées sont réalisables. Faisant confiance aux informations qui nous ont été communiquées nous déposons notre préavis de départ de notre appartement actuel. Puis lorsque nous sollicitons, en février, des informations sur les modalités de la livraison nous apprenons que celle-ci est reportée en avril 2009 pour des raisons climatiques. Nous devons repousser une première fois notre préavis ;
• en avril, en raison des intempéries, cette date de livraison a été une nouvelle fois repoussée cette fois-ci au 12 juin au plus tard. Pourquoi ces retards ne nous ont pas été signalés en février, puisque Bouygues utilise des bulletins météos de janvier ? Nous avons pu négocier un sursis supplémentaire dans notre appartement actuel, mais nous devrons le quitter courant juin ;
• en mai, nous visitons l’appartement avec l’architecte et nous constatons qu’aucune des modifications et travaux supplémentaires demandés n’ont été réalisés et que l’une d’elle ne peut être réalisée pour des raisons techniques. Pourtant, un devis a été réalisé en mai 2008 et un acompte a été encaissé pour des travaux qui ne sont pas réalisables. A ce jour, nous sommes toujours dans l’attente du remboursement de cet acompte.
• toujours pendant la même visite, nous constatons que depuis notre visite en janvier, rien n’a avancé dans les travaux d’aménagement intérieur en cinq mois. Aucune explication n’est donnée sur ce ralentissement qui ne peut être expliqué par des intempéries. Nos visites successives sur ce chantier, pendant cette période, nous laissent penser qu’il s’agit plutôt d’une carence manifeste de moyens mis en œuvre.
vendredi 12 juin 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire